« La participation citoyenne faiblit. Les jeunes ou les femmes sont-ils les moins enclins à participer à la vie publique ? Peut-on estimer qu’on ne donne pas suffisamment de responsabilités aux jeunes ? Le fait est que peu d’entre eux et de femmes s’impliquent durant les phases préparatoires des élections. Pour nous au sein de l’observatoire Safidy, l’éducation est la base de toute action. Nous nous sommes posé la question sur la stratégie de communication adéquate et pertinente à adopter pour que les jeunes prennent part activement à la vie de la cité. Nous souhaitons qu’ils y participent, qu’ils éduquent et qu’ils surveillent le scrutin. »
Vololona Randimbisona : « L’éducation est la base de toute action »
Interview croisée de Bao Razafimahefa et de Lucien Razafindrakoto
Pourquoi les systèmes de sécurité sociale obligatoires peinent-ils à s’imposer à Madagascar ?
Bao Razafimahefa (B.R.) : L’article 19 de la Constitution garantit le droit à la...
Ambohitriniandriana, au passé composé
Avant Ikongo, avant Iabohaza, un drame d’une ampleur inédite avait frappé le cœur de la société Malgache. La vie des habitants du fokontany d’Anosikely, de la commune rurale d’Ambolotarakely, dans le district d’Ankazobe, région Analamanga, sera à jamais bouleversée par une attaque sans précédent. Aujourd’hui, leur vie est rythmée par la peur et l’inquiétude. Récit.
Politika 29
Au sommaire :
Editoriaux
La faim du monde par Raoto Andriamanambe
L’élite, seul(e) chez soi par Constantin Grund
Politique
Diplomatie : de la pêche aux intérêts...